La Faucheuse Tome 2 - Thunderhead de Neal Shusterman
Format : 13,5 x 21,5 cm
Nombre de pages : 576
Genre : Science-fiction, Jeunesse
Édition : Robert Laffont
Collection : R
ISBN : 978-2-221-20029-2
Numérique : Oui
Citation : « Dans leur vie morne et sans fin, les gens regrettaient-ils les vestiges de l'imagination ? »
Quatrième de couverture : « Les humains apprennent de leurs erreurs. Moi pas. Je ne commets jamais d’erreur. »
Le Thunderhead, l’intelligence artificielle qui gouverne le
monde, a interdiction de se mêler des affaires de la communauté des
faucheurs.
Il ne peut qu’observer… et il n’aime pas ce qu’il voit.
Il ne peut qu’observer… et il n’aime pas ce qu’il voit.
La mort, même dans un monde où elle n'a plus prise,
reste une menace sur l'humanité.
Je suis heureuse, mais heureuse de pouvoir enfin vous parler de ce second tome de La Faucheuse ! Pour les plus anciens, vous vous souvenez sûrement de ma chronique fangirlesque sur le premier tome de cette saga. Pour ceux qui ne le sauraient pas, je suis tombée en pâmoison devant le premier tome (oui je viens vraiment d’utiliser le mot "pâmoison" dans une chronique). J’attendais ce tome 2 avec impatience depuis un an, et quand je l'ai eu entre les mains, j’étais la plus heureuse des lectrices de tout l’hexagone (et oui j’ai aussi utilisé le mot hexagone) !
Petit remise en contexte : ceux qui n’auraient pas encore lu le tome 1, déjà honte à vous, mais surtout, s’il vous plaît, comme d’habitude, passez au paragraphe suivant ! Souvenez-vous, la fin du premier tome avait été explosive : entre le meurtre de Goddard, la disparition de Rowan, l’entrée de Citra dans la communauté, beaucoup de choses restent en suspens. Et ce, pendant un an. Nous retrouvons Citra après une année passée aux côtés de Dame Curie dans la peau de sa patronne, Dame Anastasia (oui comme la princesse disparue de Russie !) a exercer son devoir de Faucheuse pour la Communauté. Nous allons aussi croiser Rowan, sous la cape de Maître Lucifer (promis je ne vous spoile pas, c’est dans le premier chapitre). La Communauté est plus déchirée que jamais : le Nouvel Ordre veut écraser la Vieille Garde, et elle pourra bien y arriver quand un concurrent inattendu entre dans l’arène…
Ce tome, il est riche, il beau, il est parfait. Pourtant vous le voyez bien en bas (je sais que vous allez tous voir la note avant même de lire ma p’tite intro de rédaction de 6e), ce n’est pas un coup de cœur, contrairement au premier tome. Je vais vous dire pourquoi maintenant, et je poursuis ensuite.
J’ai mis plus de quinze jours à lire ce roman. Il n’y a même pas 600 pages. L’histoire était vraiment bien. Les personnages et l’univers étaient toujours aussi excellents. Et pourtant, j’ai mis 15 put*** de jours à le lire. Si vous avez lu mon bilan du mois dernier, j’ai eu une baisse de moral en Mars. De cause à effet, j’ai eu du mal à lire. Et quand je traîne un livre, je l’apprécie moins, même si, vous allez le voir ici, c’est un sans faute.
Ceci étant dit, qu’en est-il de mon avis pour ce second tome ? Et bien, comme vous l’avez lu ci-dessus, c’est un sans faute. Un perfect quoi. Même les crêpes bretonnes ne font pas un perfect pareil ! L’histoire est juste dingue, avec des intrigues qui se croisent sans se mêler avant l’explosion finale du cliffhanger qui te fait hurler de frustration et te laisse en état de choc post traumatique sur ton lit. C’est à ce point, et je n’exagère pas. C’est un vrai jeu politique qui se passe ici, avec la Communauté comme fauteur de trouble, et le Thunderhead, que nous apprenons à comprendre dans ce tome, qui doit regarder, impuissant, le monde voler en éclat.
Le Thunderhead, parlons-en un peu. Oui on retrouve Citra, Rowan, Dame Curie et bien d’autres; on en découvre d'autres, comme Greyson ou Maître Constantine; mais aucun n’est aussi singulier que le personnage du Thunderhead. Vous avez bien lu, personnage. Je peux vous dire que les personnages que nous connaissons évoluent, vous vous en doutez. Que d’autres cachent bien leur jeu, prévisible aussi. Mais que l’intelligence artificielle de cet univers où la mort n’existe plus est un personnage de l’intrigue, là je vous coupe le sifflet (oui j’ai utilisé une expression des année 1990 et alors ?) ! Je ne dirais rien de plus, car j’en ai déjà trop dit, et ceux qui ont lu le tome 2 doivent être en train de s’étouffer devant leur écran !
Comme je l’ai écrit plus haut, l’auteur nous laisse sur un sacré cliffhanger à la fin du tome. Le genre de fin qui te laisse en PLS pendant quelques heures. Cette saga, c’est une pépite, qui montre les travers humain comme leur générosité, qui montre que même sans la mort, avec une entité pour les guider, il y en a toujours qui trouveront une façon de contourner le système. Cette saga, et oui là je vais vous donner un ordre, il faut la lire.
Petit remise en contexte : ceux qui n’auraient pas encore lu le tome 1, déjà honte à vous, mais surtout, s’il vous plaît, comme d’habitude, passez au paragraphe suivant ! Souvenez-vous, la fin du premier tome avait été explosive : entre le meurtre de Goddard, la disparition de Rowan, l’entrée de Citra dans la communauté, beaucoup de choses restent en suspens. Et ce, pendant un an. Nous retrouvons Citra après une année passée aux côtés de Dame Curie dans la peau de sa patronne, Dame Anastasia (oui comme la princesse disparue de Russie !) a exercer son devoir de Faucheuse pour la Communauté. Nous allons aussi croiser Rowan, sous la cape de Maître Lucifer (promis je ne vous spoile pas, c’est dans le premier chapitre). La Communauté est plus déchirée que jamais : le Nouvel Ordre veut écraser la Vieille Garde, et elle pourra bien y arriver quand un concurrent inattendu entre dans l’arène…
Ce tome, il est riche, il beau, il est parfait. Pourtant vous le voyez bien en bas (je sais que vous allez tous voir la note avant même de lire ma p’tite intro de rédaction de 6e), ce n’est pas un coup de cœur, contrairement au premier tome. Je vais vous dire pourquoi maintenant, et je poursuis ensuite.
J’ai mis plus de quinze jours à lire ce roman. Il n’y a même pas 600 pages. L’histoire était vraiment bien. Les personnages et l’univers étaient toujours aussi excellents. Et pourtant, j’ai mis 15 put*** de jours à le lire. Si vous avez lu mon bilan du mois dernier, j’ai eu une baisse de moral en Mars. De cause à effet, j’ai eu du mal à lire. Et quand je traîne un livre, je l’apprécie moins, même si, vous allez le voir ici, c’est un sans faute.
Ceci étant dit, qu’en est-il de mon avis pour ce second tome ? Et bien, comme vous l’avez lu ci-dessus, c’est un sans faute. Un perfect quoi. Même les crêpes bretonnes ne font pas un perfect pareil ! L’histoire est juste dingue, avec des intrigues qui se croisent sans se mêler avant l’explosion finale du cliffhanger qui te fait hurler de frustration et te laisse en état de choc post traumatique sur ton lit. C’est à ce point, et je n’exagère pas. C’est un vrai jeu politique qui se passe ici, avec la Communauté comme fauteur de trouble, et le Thunderhead, que nous apprenons à comprendre dans ce tome, qui doit regarder, impuissant, le monde voler en éclat.
Le Thunderhead, parlons-en un peu. Oui on retrouve Citra, Rowan, Dame Curie et bien d’autres; on en découvre d'autres, comme Greyson ou Maître Constantine; mais aucun n’est aussi singulier que le personnage du Thunderhead. Vous avez bien lu, personnage. Je peux vous dire que les personnages que nous connaissons évoluent, vous vous en doutez. Que d’autres cachent bien leur jeu, prévisible aussi. Mais que l’intelligence artificielle de cet univers où la mort n’existe plus est un personnage de l’intrigue, là je vous coupe le sifflet (oui j’ai utilisé une expression des année 1990 et alors ?) ! Je ne dirais rien de plus, car j’en ai déjà trop dit, et ceux qui ont lu le tome 2 doivent être en train de s’étouffer devant leur écran !
Comme je l’ai écrit plus haut, l’auteur nous laisse sur un sacré cliffhanger à la fin du tome. Le genre de fin qui te laisse en PLS pendant quelques heures. Cette saga, c’est une pépite, qui montre les travers humain comme leur générosité, qui montre que même sans la mort, avec une entité pour les guider, il y en a toujours qui trouveront une façon de contourner le système. Cette saga, et oui là je vais vous donner un ordre, il faut la lire.
Ma note : 20/20
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